L’alimentation est le Médicament le plus puissant sur terre…

J’ai fait ce site pour mes deux garçons, Nathan et Mathys mais aussi pour partager les informations que j’ai pu recueillir pendant tous ces mois de recherche afin d’améliorer leur santé et celle d’autres enfants.

Plus largement j’espère pouvoir apporter une aide à tous ceux qui n’ont pas trouvé de solution médicale à leurs problèmes de santé.

Le chemin est encore long mais nous progressons chaque jour.

Ce site ne prétend pas se substituer au corps médical. Il est extrêmement important de se faire suivre régulièrement par un médecin.

Notre histoire a vraiment commencé en 2016, nôtre fils Nathan était en classe de CP.

Nous avions bien constaté qu’il était maladroit et qu’il avait de grandes difficultés dans les apprentissages, qu’il cherchait trop souvent ses mots…

Nous le faisions déjà suivre par une orthophoniste depuis 2 ans.

Il est tellement difficile de voir la réalité en face…

Ce jour-là, la Maitresse demande à parler à ma femme au moment de récupérer Nathan à l’école.

« Nathan ne sait toujours pas ses mots, il ne sait pas ses leçons, il faut qu’il travaille plus » à moins que…

Sa maitresse avait le pressentiment que quelque chose n’allait pas…

Dans son esprit il fallait absolument consulter pour en savoir plus…

Il y avait sans doute un problème…

Peut-être un problème auquel elle avait été confrontée toute sa vie…

Pourtant il travaillait mais nous avions l’impression que les quelques notions qu’il parvenait à apprendre étaient oubliées aussitôt, la plupart du temps, en l’espace de seulement cinq minutes. Nous lui reprochions même de le faire exprès. Il oubliait les notions apprises difficilement presque instantanément et de manière aléatoire ! Il ne se rappelait pas des évènements de sa journée, des aliments qu’il avait mangés à la cantine (il ne mangeait pratiquement rien), il avait beaucoup de mal à se repérer dans le temps.

 Sa lenteur n’était pas un problème de compréhension mais il ne semblait pas fixer les informations dans sa mémoire. Il avait aussi peur de tout et était d’une extrême prudence. Il ne prenait jamais aucun risque.

Malgré son extrême maladresse, c’était un enfant qui ne tombait jamais, et pour cause…

Son alimentation se limitait à quelques aliments, Pâtes, riz, purée, pain, steaks hachés, une qualité de céréale et une marque de glace dans un parfum bien précis…

Les autres aliments étaient recrachés ou vomis.

Son frère Mathys avait tout au contraire de lui, de grandes capacités d’apprentissage et de réelles aptitudes physiques avec cependant un asthme récurant.

L’un travaillait beaucoup pour des résultats très faibles et l’autre travaillait très peu pour de très bons résultats…

La discussion avec la maitresse fut donc un véritable électrochoc et nous décidâmes de consulter encore.

Sur les conseils de notre orthophoniste nous consultâmes une psychologue qui après avoir longuement observé Nathan nous conseilla judicieusement de faire faire un bilan neurologique et un bilan de motricité.

Nôtre psychomotricienne fut la première à poser un nom sur le mal qui semblait entraver le développement de Nathan. Il tomba comme une sentence : « Dyspraxie ».

Plus tard en discutant avec sa maitresse, celle-ci nous révéla qu’elle aussi était dyspraxique. Je pense que l’histoire de Nathan lui renvoya son histoire comme dans un miroir.

Après quelques recherches sur le net ce fut la consternation. Qu’allait-il devenir ? qu’elle serait sa vie future ? Pourrait-t-il être heureux avec ce handicap ?

J’avoue avoir traversé des moments de désespoir !

Très vite je me plongeais dans la lecture de nombreux ouvrages traitant du problème, en fait tout ceux qui traitaient de cette pathologie, ils n’étaient pas si nombreux.

Plus je me plongeais dans ces livres, plus le désespoir m’envahissait.

En simplifiant, les remédiations cognitives pourront l’aider à vivre avec son handicap mais la dyspraxie n’est pas une pathologie qui se guérit.

Ce fut donc la valse des intervenants : Orthophonistes, Psychomotricienne, ergothérapeute, psychologue spécialiste de la mémoire, neuro pédiatres, maitresses pour des cours individualisés, test de QI…

Notification MDPH, AVS…

Dix heures de remédiations cognitives en plus de ses cours à l’école ! Heureusement Nathan gardait sa bonne humeur.

Dix heures c’est énorme, c’est même trop !

Malheureusement la dyspraxie spécifique de Nathan ne permettait pas de ralentir le rythme des remédiations. Nous avons essayé plusieurs fois d’alléger son emploi du temps…

Ce fut immanquablement une régression immédiate. Il régressait jusqu’à six mois en arrière !

Ma deuxième préoccupation fut qu’il ne soit pas malheureux à l’école, qu’il ne soit pas marginalisé par les autres enfants.

Nathan, en plus de ses problèmes d’apprentissage, n’était pas capable de jouer avec ses camarades au ballon ou même de courir comme eux. Il montait et descendait les escaliers de l’école à « quatre pattes ».

Mais il s’en sortait en faisant rire ses camarades, en faisant le clown.

Il était important que l’équipe pédagogique soit informée rapidement à chaque rentrée des problèmes rencontré par Nathan.

Sans attendre le rendez-vous fixé avec le maitre ou la maitresse je demandais à Nathan de remettre une lettre afin d’expliquer ses difficultés. Cela lui permettait d’éviter les incompréhensions.

Voici ci-dessous la lettre destinée à l’équipe pédagogique sur les problèmes de Nathan :

Observations des parents au sujet de la Dyspraxie et des difficultés que rencontre Nathan Nicolas.

Décembre 2018

Il existe de nombreux types de Dyspraxie, Nathan est confronté à des difficultés spécifiques.

La Dyspraxie de Nathan se traduit principalement par un déficit marqué de sa mémoire accompagné de troubles de la motricité. Il s’agit d’un handicap auquel il sera confronté toute sa vie. Votre aide et le travail des professionnels de la santé lui permettront néanmoins de limiter les effets de cette pathologie.

La dyspraxie de Nathan est un handicap déconcertant, son intelligence reste tout à fait normale, il comprend tout, il se rend compte de ses difficultés, elles lui ont été expliquée mais il se sent diminué et se trouve nul, il essaie de cacher ses problèmes. C’est pour cela que Nathan a besoin de se sentir valorisé au quotidien, il a besoin d’être encouragé et que l’on reconnaisse ses efforts.

Il fournit un travail bien plus important que la plupart des enfants de son âge pour compenser son handicap.

En plus de ses devoirs scolaires il est pris en charge par :

Deux neuropédiatres 

une psychomotricienne

une neuro-psychologue spécialiste mémoire et des tests QI

une orthophoniste

une ergothérapeute

et enfin une maîtresse

Nathan doit être en permanence stimulé pour consolider sa mémoire et automatiser ses apprentissages.

 Il faut recommencer inlassablement les mêmes apprentissages pour que les informations se fixent. Les connections d’une partie de son cerveau sont déficientes et il apprend peu à peu à contourner les problèmes en développant de nouvelles stratégies.

Lors du Bilan effectué au CPA par Notre psychologue spécialiste de la mémoire, paradoxalement, même si Nathan a des problèmes d'accès à sa mémoire, il a été mis en évidence que Nathan a une bonne mémoire visuelle à court terme, ainsi il sera difficile de rivaliser avec lui au jeu du mémory. Il faut s'appuyer sur ce point fort.

Pour comprendre ses difficultés :

 - Imaginez que tout ce que vous apprenez disparaît parfois de façon aléatoire en quelques minutes ou quelques heures.

 - Imaginez que vous ayez des gants de boxe aux mains toute la journée pour faire vos tâches quotidiennes (écriture par exemple),

 - Imaginez que lorsque vous jouez avec une balle ou un ballon ce soit toujours la première fois malgré les centaines de fois où vous avez déjà fait ces gestes,

 - Imaginez qu’il soit impossible d’écrire et d’enregistrer ce que l’on vous dit (doubles taches impossibles) …

 - Imaginez que vous fassiez correctement des exercices une fois les consignes expliquées et que le lendemain tout soit oublié lors de l'évaluation,

 - Imaginez que vous soyez conscient de tout cela,

 C’est le quotidien de Nathan…

Nathan éprouve de grandes difficultés pour automatiser, c’est pour cela qu’il évite le sport, les jeux de ballon, il ne sait toujours pas faire de vélo sans les petites roues, il ne mange pratiquement pas à la cantine, il est long dans tout ce qu’il fait et bien sûr à la récréation il peut-être le sujet de moqueries.

Le simple fait de marcher, de courir ou de monter les escaliers ont été le fruit d’un long et lent apprentissage.

A cause de toutes ses difficultés il rentre souvent le soir très fatigué mais il donne souvent le change en faisant le clown.

Problèmes rencontrés en classe de CE2 :

Nous avons rencontré des problèmes concernant les devoirs donnés à la maison :

Lorsqu'il n'a pas une AVS avec lui, Nathan n'a pas le temps de retranscrire correctement les devoirs sur son cahier de texte. Il est beaucoup trop lent. Nous contactons les parents de ses copains pour savoir quel est le travail à effectuer. Il ne s'en rappelle pas et il oublie régulièrement ses supports (leçons, livres...). Nous avons dû par exemple acheter en double son livre de Mathématique.

Nous avons mis en place avec le maître depuis peu un cahier de liaison et une pochette pour les devoirs.

Ça fonctionne beaucoup mieux.

Importance de l'AVS pour Nathan :

Nous attirons votre attention sur le fait que 7 heures d'AVS sont vraiment insuffisantes pour un enfant dyspraxique, c'est aussi l'avis des intervenants professionnels. L'aide d'une AVS permet, plus particulièrement dans le cas d'un enfant dyspraxique, de compenser efficacement ses déficiences scolaires.

Il est nécessaire de l'aider dans ses retranscriptions écrites, de lui relire la consigne et de s'assurer qu'il a bien compris et en lui donnant un exemple.

Notre demande :

Nous demandons que la présence d'une AVS soit portée à 12 heures minimum, comme le recommandent les intervenants professionnels. De même il est très important que Nathan puisse bénéficier d'aménagements des supports scolaires selon les recommandations des professionnels de la santé (conclusions des bilan) et de temps supplémentaire pendant les évaluations pour compenser son handicap afin de rétablir l'égalité des chances.

Notre Neuropédiatre fait les recommandations suivantes :

-Allègement des textes à lire en classe

-Contrôler sa compréhension des énoncés à voix haute

-Lui mettre les tables de multiplication en support sur son bureau. Ne plus l'interroger ni lui demander de les retenir par cœur pour le moment.

-Agrandir les polices et interlignes des textes et des énoncés, éviter les phrases longues

-Possibilité pour les parents de préparer les supports à l'avance

Informations destinées à l'équipe pédagogique :

Nous vous transmettons ci-joint une clé USB que vous pouvez conserver et dans laquelle une spécialiste de l'INSERM explique combien la dyspraxie est un handicap significatif. Nous sommes conscients que vous n’aurez certainement pas le temps de tout regarder mais si vous le souhaitez, vous pouvez survoler la vidéo. Les bilans et informations concernant Nathan sont aussi disponibles dans cette clé.

Remerciements

Merci pour votre compréhension et votre précieuse collaboration.

Veuillez agréer Madame, Monsieur l’expression de nos sentiments les meilleurs.

Le livre du docteur Natasha Campbell-McBride

Et malgré ses difficultés Nathan était heureux à l’école. Les Maitres et maitresses l’on beaucoup aidé afin qu’il se sente bien.

La progression de Nathan fut lente, très lente même, nous avions souvent l’impression qu’il régressait.

Mon oncle et ma cousine me conseillèrent de lire un livre de plus traitant de la dyspraxie. Il s’agissait du livre du docteur Natasha Campbell-McBride

« Le syndrome entéropsychologique ».

Ce fut pour moi une révélation !

Malgré une première partie un peu technique, les affirmations du docteur Campbell-McBride me semblaient judicieuses.

Quelle était la variable sur laquelle il était possible d’influer rapidement et durablement…La nourriture !

Nous sommes ce que nous mangeons !

Les recommandations du Dr Campbell étaient précieuses et elles m’indiquaient la voie à suivre.

Réparer la paroi de l’intestin avec des soupes de légumes et des bouillons de viande puis réintroduire progressivement une alimentation équilibrée de produits non transformés. Le régime GAPS (qui n’est pas un régime à proprement parler).

Très vite je repris mes recherches sur internet. Les interviews et les conférences du docteur me confortaient dans mes recherches.

Je mets sur ce site les liens vers les vidéos du docteur Campbell-McBride. Cliquez sur l’image, cela peut changer votre vie…

Les témoignages de ses patients ou de ceux qui ont suivis ses recommandations furent précieuses. Le docteur a ouvert une clinique et a soigné de nombreux patients.

Il fut temps pour moi d’essayer de convaincre ma femme qu’il faillait adopter ce mode d’alimentation dans l’intérêt de notre fils Nathan.

Concernant les fruits, les légumes ce ne fut pas très compliqué car ma femme en était déjà convaincue depuis bien longtemps et avant moi mais il fut une toute autre affaire de la convaincre de vraiment manger non transformé et d’abandonner le blé sous toutes ses formes, le pain, les céréales, les pâtes, le riz, la purée, le lait, le sucre, le sel raffiné, les gâteaux du commerce…

De longues discussions au programme !

Qu’allait-on manger !

J’étais le premier désespéré, moi qui aimais tant cette nourriture délétère.

Manger de tout mais non transformé et si possible sans aditifs et pesticides.

Soupes de légumes de toutes sortes, salade en tout genre, lentilles, viandes, bouillons de viandes maigres et grasses, poissons, Œufs, oléagineux, fruits, sel de l’hymalaya…En un mot comme en cent :  EQUILIBRÉ NON TRANSFORMÉ !

C’est plus cher, c’est beaucoup plus de travail mais croyez-moi, ça en vaut la peine !

Et cela concerne toutes sortes de problèmes de santé, nous en avons tous fait l’expérience. C’est vraiment incroyable mais lorsque l’on mange sainement la santé s’améliore naturellement !

Attention ce n’est pas lourde non plus !

Au bout d’une semaine de régime d’introduction (soupes et bouillons de viandes) Nathan commerça à s’ouvrir à tous les aliments, ils ne les vomissaient plus. C’était incroyable de le voir manger des fruits, des légumes de la soupe, des salades, des viandes…

Il découvrait chaque jour de nouveau aliment et nous suivions aussi son régime alimentaire (si on peut parler de régime !).

Certains aliments demandaient plus d’effort que d’autres mais ce n’était plus le même enfant !

Lui qui était si psychorigide ! 

Le microbiote décide de ce que vous mangez !  J’avais du mal à y croire !

Il était temps pour moi d’aménager mes horaires de travail afin de retirer nos enfants de la cantine pour pouvoir suivre le protocole.

Ma femme se consacrait aussi bien plus à cuisiner des repas équilibrés.

Ce n’est vraiment pas évident !  Il faut s’organiser.

Nathan avait eu aussi des allergies alimentaires par le passé et il était souhaitable de contrôler sa nourriture. Le moindre produit sur sa peau déclenchait automatiquement une réaction cutanée forte !

A ce stade il fallait se préoccuper de la santé de son microbiote et complémenter en vitamine.

Dans un premier temps, je me tournais vers des probiotiques disponibles en pharmacie à un dosage à 30 ou 40 milliards de bactéries par gélule.

En parallèle nous faisions suivre régulièrement Nathan par notre médecin auquel nous avions expliqué notre démarche : alimentation naturelle non transformée et probiotiques.

Après d’autres recherches sur les probiotiques, je découvrais la vidéo concernant le Professeur De Simone qui travaille avec le ministère de la santé italien sur des probiotiques à hautes doses capables de relancer les neurotransmetteurs du cerveau.

Il était possible d’obtenir des résultats probants en ingérant des probiotiques en dosage de 450 milliards ou 900 milliards de bactéries pour un enfant de plus de 6 ans. Des bactéries utilisées pour leurs effets bénéfiques.

J’ai donc commandé ces probiotiques non sans avoir aussi convaincu ma pharmacienne d’en commander aussi pour les avoir en stock (elle était déjà convaincue mais ne connaissait pas le produit).

Je précise ici que je ne vends rien et que je n’ai aucun intérêt de promouvoir des produits ou des livres.

J’ai mis un lien sur le site concernant l’interview du professeur en question.

Nathan prend ses probiotiques midi et soir, deux doses de 450 milliards par jour.

Il est encore trop tôt pour juger des effets du Vivomixx mais son état évolue toujours très favorablement. C’est étonnant.

Je précise que le professeur affirme qu’en dessous de ces dosages l’effet sur le microbiote est négligeable.

Nathan semble sortir peu à un de son brouillard.

Il progresse nettement à l’école même s’il lui faut travailler dur pour rattraper son retard.

Sa maitresse et son AVS continuent à l’aider chaque jour.

Mathys qui suit le même protocole n’a presque plus de crises d’asthme.

Nous avons aussi remarqué des effets bénéfiques sur notre santé.

Il nous faudra plus de recul pour juger de tous les effets bénéfiques d’une alimentation saine et des probiotiques à hautes doses.

J’ai néanmoins poursuivi mes recherches sur le net, elles m’ont menées jusqu’au Canada et à Nathalie Champoux.

Ses deux ouvrages ont été une étape décisive !

Il s’agit d’une mère de famille qui a tout abandonné pour s’investir totalement dans la guérison de ses deux fils autistes.

Elle a écrit deux ouvrages faciles à appréhender. Voir ci-dessous :

A mon avis ces deux ouvrages sont incontournables !

Ces livres ont ceci d’intéressant qu’ils prennent en compte l’intégralité du problème.

Tous les paramètre qui nous entourent doivent être pris en compte pour obtenir les meilleurs résultats possibles.

Outre le régime Gaps du Docteur Natasha Campbell-McBride, celle-ci nous explique les différentes étapes nécessaires à a prise en compte de l’ensemble de la problématique.

Elle met l’accent sur l’importance du respect des règles menant à la guérison.

Les liens concernant ses interviews sont sur le site, je vous recommande aussi les témoignages des parents qui ont adoptés son mode de vie.

Les témoignages sont joyeux et émouvants.

Suite à ces dernières lectures j’ai initié les analyses suivantes concernant Nathan :

Analyse des cheveux (recherche de métaux lourds) car certains enfants accumulent les métaux lourds présents en faible quantité dans notre environnement au lieu de les éliminer (Le plomb peut affecter le QI par exemple).

Présence de plomb dans les cheveux de Nathan

Analyses de sang pour les métaux lourds et les déséquilibres, je souhaiterai aller plus loin avec une hématologie à la recherche d’aliments non suffisamment digérés. Ceci afin de déterminer si sa paroi intestinale effectue correctement sa fonction de filtre.

Rien, cette analyse ne révèle plus la présence de plomb (2 mois après).

Analyse des selles en trois fois consécutives, à la recherche de parasites et de dysbioses. Je souhaiterai aller plus loin dans cette analyse car je pense qu’il faut une analyse plus détaillée.

Rien…Je reste sceptique.

Analyse de son microbiote à la recherche de déséquilibres dans sa flore intestinale.

Présence de déséquilibres mais bonne diversité (voir le rôle du vivomixx…)

A ce stade, il me faut sans doute l’aide d’une naturopathe afin de l’aider à surmonter ses problèmes de peau sèche, exéma et peut-être un psoriasis sur son cuir chevelu.

Il faut sans doute creuser encore au sujet de son microbiote et des analyses de sang.

Parallèlement à la modification du régime alimentaire avec supplémentation de probiotique à hautes doses, j’ai opéré des changements au sujet de l’eau que nous buvions.

En effet, je pense qu’il est sans doute important d’éviter d’ingérer de l’eau chargée de chlore (néfaste lorsqu’on réensemence en bactéries), chargée de trace de résidus de pesticides, de traces de perturbateurs endocrinien, de nitrates, de métaux lourds.

Dans nos rivières certains poissons changent de sexe, preuve que les perturbateurs endocriniens sont partout (résidus de la pilule, des œstrogènes…). La qualité de l’eau se dégrade chaque année.

Dans ces conditions, difficile de ne pas perturber un microbiote déjà bien affaibli.

Le microbiote des personnes issus des pays industrialisés a déjà perdu en moyenne la moitié de la diversité des bactéries qui composent leur fore intestinale. Ceci implique sans doute que si nous ne sommes pas déjà malades nous le seront probablement dans les années qui viennent.

Cela concerne tout le monde.

Voir la rubrique « Le Microbiote » et l’excellent reportage sur ARTE. Liens en cliquant sur la photo.

Dans la rubrique « L’Eau » voire le témoignage d’un spécialiste de l’eau Français indépendant qui ne prêche pour aucune firme ni aucun lobby (j’ai eu du mal à en trouver un). Chacun prêche pour sa paroisse avec des études toutes contradictoires.

Dans ces conditions, il peut être salvateur de s’appuyer sur son expérience personnelle.

Etant passionné d’aquariophilie depuis plus de 35 ans, j’ai pensé qu’il était peut-être intéressant de tenir compte de l’expérience que j’ai acquise au sujet des spécificités de l’eau (cycle de l’azote, PH, KH, conductivité, reminéralisation, température, présence de nitrates, de nitrites, réensemencement bactérien…).

Je me suis intéressé peu à peu à des poissons de plus en plus exigent sur la qualité de l’eau. Etant originaires de territoires préservés avec une eau très pure, ces poissons ne supportaient pas les eaux polluées ou les fluctuations de qualité. Même si ce sont tous aujourd’hui des poissons d’élevages, je pense qu’ils ont gardés en mémoire dans leurs gènes les conditions de leur vie d’origine.

Pourtant en tenant compte des paramètres de base, respect du cycle de l’azote, respect du PH, KH, respect de la Conductivité, grand volume, températures adéquate, cohabitation, il n’était pas rare de découvrir des poissons malades ou pire encore.

Je me tournais alors vers des spécialistes de l’aquariophilie (souvent de très bons connaisseurs de la qualité des eaux) afin de prendre conseil.

Après avoir pris conseil auprès de plusieurs spécialistes, la réponse coulait de source pour ainsi dire. L’eau de nos habitations n’était pas suffisamment qualitative pour permettre à ces poissons exigeants de survivre. De plus la qualité de notre eau du robinet est qualitativement fluctuante dans le temps.

Une seule solution valable à mon avis :  la filtration purement mécanique à partir d’un osmoseur inverse à cinq ou sept étapes.

 « C’est un système de purification de l’eau par un filtrage très précis. Une membrane d’osmose inverse est une membrane semi perméable, elle a une porosité de 0,0003 microns. Elle permet de retenir entre 96 et 98% des impuretés et ne laissera passer que les molécules d’eau et quelques petits oligos éléments. Ce n’est pas une eau déminéralisée. Elle contient au minimum 10 mlg de minéraux par litre ».

37 mlg avec reminéralisation (suivant la cartouche utilisée).

Effectivement après avoir adopté ce procédé de filtration je n’ai plus rencontré de problème à ce sujet.

Pourquoi ne pas utiliser le même procédé pour notre eau de consommation, j’avais quelques réticences car j’étais conscient de la nécessité de reminéraliser faiblement l’eau ainsi filtrée. Je le faisais pour obtenir la conductivité idéale pour mes poissons.

Après étude du problème, ma conclusion fut la suivante, tout d’abord l’eau osmosée contient quelques oligo-éléments et une petite dose de minéraux qui la rendent utilisable par l’homme. Prenant en compte qu’un excès de minéraux peut être problématique pour le corps humain d’une part et que d’autre part la plus grande partie des minéraux nécessaires au fonctionnement du corp humain se trouve dans l’alimentation, j’en ai déduit que :

Lorsqu’on fait la balance entre : les risques liés aux chlore, nitrates, pesticides, perturbateurs endocriniens, métaux lourds d’un côté et un petit manque de minéraux et la nécessité de changer régulièrement ses filtres. Je pense que nous avons bien fait d’adopter le procédé de filtration mécanique.

L’eau est agréable à boire sans arrière-gout.

Il est important pour chacun de se faire sa propre opinion et en aucun cas de suivre aveuglement les dires des uns et des autres surtouts s’ils prêchent pour un système qui les nourrit.

Actuellement notre second médecin, qui est aussi homéopathe, nous a prescrit un traitement homéopathique pour détoxifier son organisme, il vérifie aussi la liste des vaccins qu’il a reçu.

La rubrique sur le jeûne intermittent ne s’adresse qu’aux personnes adultes qui souhaitent mettre au repos leur intestin trop sollicité par la mal bouffe et les multiples collations journalières

Une piste que je souhaiterai explorer :

J’aimerai pouvoir avoir accès à un traitement en caisson hyperbare sous contrôle médical.

On l’utilise aujourd’hui entre autres pour les accidents de décompression, les cicatrisations et les accidents vasculaires cérébraux afin favoriser, grâce à l’oxygène sous pression les reconnections dans le cerveau.

Conclusion

Et Pour être tout à fait rationnel, dans ma démarche il aurait été plus logique de commencer par les analyses avec éventuellement une chélation des métaux lourds puis initier une modification du son régime alimentaire de notre fils avec prise de probiotique et de finir enfin par les remédiations cognitives.

Malheureusement, les parents perdent énormément de temps à rechercher les informations susceptibles d’aider leurs enfants.

Perdu dans leur tristesse, ils ne sont pas toujours dans les meilleures conditions pour prendre les décisions qui s’imposent.

Pour en finir, notre chemin est encore long pour obtenir les meilleurs résultats possibles. Chaque cas est différent et il est important que chacun d’entre nous trouve la voie la plus adaptée à sa situation toujours sous le contrôle du corps médicale.

Les médecins sont souvent démunis devant ces situations et ils n’ont sont pas été formés pour faire face à une telle épidémie. Ils sont obligés de se former eux même.

Plus de 600% d’augmentation des troubles autistiques en quelques années. Plus que de cas que de cancer, de diabète et de sida réunis. Certaines études annoncent plus d’un enfant sur deux autistes pour 2025. Autant dire demain.

La nourriture transformée, les additifs en tout genre, tiennent sans aucun doute un grand rôle dans cette véritable débâcle sanitaire !

Le blé avait 14 chromosomes il y a quelques années aujourd’hui il en a 42.

Je pense qu’il faut cesser de jouer aux apprentis sorciers et revenir à une alimentation saine, diversifiée, sans transformation.

Soyez critique cherchez vous-même les réponses auprès des intervenants qui vous paraissent les plus crédibles.  

J’espère que les informations regroupées dans ce site permettront à certains enfants ou adultes d’améliorer significativement leur santé…